Jim Emilien Vifembruns

Nom : Vifembruns

Prénom : Jim Emilien

Âge : 15 ans (N.B. :et toutes ses dents, Ah ah)

Sexe : Masculin exclusivement et sans ambiguïté

Apparence Physique : Jim a des traits qui le vieillissent un peu, ce qui compense avec sa très petite taille et sa maigreur. Son teint est assez pâle, et rougit rarement. Son visage est très mobile et ont un éventail plus divers que varié d'émotions que l'on peut y afficher. Ses yeux sont verts absinthe (Nota Benêt : ^^ vive les nuances, youpla-hop !) et ont un regard très nuancé dans ses expressions. Il n'est pas besoin de précision dans ses diatribes pour signaler des nuances, car, si tant qu'on ait son visage et ses yeux en vue, on ne peut se méprendre sur le ton du message qu'il veut faire passer. Sans être d'une beauté divine, le visage et le regard de Jim le rendent extrêmement charismatique. Il n'est cependant pas laid. Un nez pointu est planté dans son visage blanc. Ses yeux, décrits plus haut, sont immanquable à celui qui est face à face avec lui. En général, il a l'air plutôt rieur, ou au moins doux, car l'aspect sec est rare dans ces yeux à la douceur et au calme d'aurore. Son aspect même est empreinte de raison et de sang-froid. Ses cheveux sont longs, et châtains clairs, avec un petit reflet grisâtre. Ils sont bien coiffés, seule une assez longue frange tombe sur ses yeux verts et au calme imperturbable. De très petite taille, et d'apparence fragile, Jim est plutôt le genre de la silhouette gracile mais souple, aux mains blafardes et habiles. En fait, il a l'air presque rachitique. Jim s'habille toujours de la même façon (N.B. pour quequ'un qui se reconnaîtra peut-être : Erf ^^ Tu as dix centièmes de secondes pour deviner ^^), d'un éternel costume bleus, sans cravate cependant, sauf pour les cérémonies. En cas de froid, Il sortira immanquablement son manteau gris au col de fourrure authentiquement synthétique, orné du renard d'or ailé, symbole immanquable de l'Empire Eurasien.

Caractère : Personnage trompeur, excellent comédien, il est assez imprudent - et pourtant inexorable ! - de se fier à se qu'il pourrait vous montrer comme face. En effet, il ne s'est que rarement promené sans télécran (objet de forme oblongue, à double fonction de communication et de surveillance) dans le coin, et donc, il lui fut toujours obligatoire d'avoir un air d'heureux optimisme, et de plus, il est plus que tout, pour être bien considéré en société, d'amener les gens à confesser les mauvaises pensées qu'ils ont eu, ce qui est impossible si l'on a pas un talent énorme à paraître ce que l'on est pas. Intelligent et très empathe, il n'a aucune difficulté à deviner dans quelle humeur est son interlocuteur. Il peut parfois se montrer en tant qu'ordure complète, méprisant, hautain et parfaitement insupportable envers son prochain. Il peut cependant, à l'occasion, être d'une gentillesse remarquable, et extrêmement aimable, cet état de chose étant, selon les cas, artificiel (pour se mettre dans de bonnes grâces) ou, beaucoup plus rarement, sincère. Il est assez bavard et a une richesse de langage certaine. Il est plutôt lâche en ce qui concerne les risques de combats avec quelqu'un d'autre. En fait, si il devait un jour assassiner quelqu'un, il serait davantage partisant du tranchage de gorge pendant le sommeil, que du rude combat à armes égales, pour la simple raison qu'il sait que sa constitution et faible, et puis, même sans cela, seuls les imbéciles se battent loyalement... En général, il ment sur ses sentiments, à l'égard de tout. Il considère que même la franchise, est une vertue d'imbécile. C'est même la pire de toutes ! Par conséquent, s'il tombe dans d'autres vertues d'imbéciles, l'affection evers le prochain, par exemple, eh bien, il ne changera pas du tout d'attitude, du moins pendant un bon bout de temps. Jim est aussi un exemple même de sang-froid et de calme. Sous une forte pression, au pire, il sera fatigué, poussera un soupir et, si c'est so devoir, continuera sa tâche.

Histoire : Jim est né dans beaucoup de siècles (N.B. : ^^ J'aime cette phrase : "est né dans beaucoup de siècles...) sur la planète Mars (N.B. : XD Je me comprend) mais néanmoins, ce n'est pas un petit homme vert. Il est petit, mais, en revanche, rien chez lui, hormis ses yeux, n'est vert. Ses parents étaient tout simplement en vacances.
C'était un peu avant que l'Eurasia ne fasse la guerre à l'Océania, en l'an de grâce 41971. A ce moment, Mars, avec l'atmosphère apporté, par pollution et par les terriens qui voulaient sauvegarder quelques morceaux de chez eux, où il commençait à faire mauvais, il transformèrent Mars en une planète verte et paradisiaque, où on implanta quelques villages non polluants, et des animaux proches de l'extinction, tels que les belettes, les écureuils et les les lapins, et beaucoup d'autres. Les tigres, lions, chevaux, vaches et chèvres, et autres, avaient, eux, trouvés comme seuls lieux de survie dans les mémoires, les livres sur les animaux disparus, à quelques pages des mammouths, hipparions et autres. Les gens venaient sur Mars pour travailler à la sauvegarde des espèces, animales ou végétales, ou bien pendant les vacances, pour les observer.
En ces temps là, la Terre était polluée, mais les gens, dans l'ensemble, étaient heureux, bien qu'ils ne pouvaient s'en rendre compte. Ou plus précisément, en cette époque, c'était déjà le déclin. La révolution commençait et, de toutes façons, avec la population croissante et l'eau qui se raréfiait au point de coûter très cher pour la simple hydratation d'une seule personne, la naissance d'un enfant était synonyme de dépenses. Mais cela empira encore avec le temps...
Le 25 Avril, à huit heures du matin, la foule se pressait dans l'ancien métro. Au dessus tonnait le bruit des bombes qui tombaient sur la ville. Jim avait quatre ans. Le pressant d'avancer, son père, juste devant, le pressait de descendre les escaliers, en le tirant fébrilement par la main, tout en s'efforçant de maintenir la prise, car la main du géniteur était moite, et son esprit occupé par mille choses à la fois. La mère était derrière, assez loin, sa fille, encore très petite, dans les bras. Elle ne se pressait pas. Quelques vieillards pleuraient, assis sur le sol de l'ancien métro, sans doute suite à la perte de telle petite fille, ou d'un fils, ou d'un ami...
Plus tard, Jim entra à l'école. Là, on lui apprit beaucoup de choses. Des choses établies après le début des nombreuses guerres, qui suivirent la révolution. En fait d'apprendre, il n'y avait pas grand-chose à savoir. La planète terre était composée de trois super-états : l'Eurasia, chez nous, l'Estasia, l'allié, et l'Océania, les ennemis. C'était aussi simple que cela. On appris aussi qu'il fallait aimer le dirigeant, le bon chef, Big Brother (N.B. : "Big Brother vous regarde" XD) le vénérer, et que les gens qui ne l'aimait pas se devaient d'être dénoncer à la Police de la Pensée, où on les remettra dans le droit chemin.
Parfois, l'Allié et l'Ennemis étaient inversés. Dans ce cas, ça ne change rien : C'est comme si l'ennemi avait toujours été le même.
Le père de Jim travaillait dans un Ministère, où il s'occupait justement de "rectifier des erreurs", autrement dit, de modifier toutes les traces du passé qui avaient changés.
Dans tous ça, Jim était un bon élève, et se plaisait à dénoncer du monde à la terrible Police de la Pensée, dont les indiscrets télécrans étaient de leurs meilleurs aides dans le dépistage des gens qui ne pensent pas comme il faut. Néanmoins, avoir des espions étaient une bonne chose. Les enfants, trop jeunes pour avoir pu connaître, ou du moins pour se souvenir, des temps où les règles en vigueur n'était plus les mêmes, en étaient de sûrs. D'autant plus qu'ils pouvaient espionner leurs parents...
Ainsi, furent arrêtés la mère et la soeur de Jim, parce que la mère racontait des souvenirs d'un temps meilleursà sa fille, qui avait alors six ans et semblait ne pas aimer l'époque présente. Ce qui est mal. Le père était alors absent.
La mère et la fille disparurent. "Vaporisées", disait-on.
Il ne restait donc plus que le père, qui ne tarda pas à se remarier, non par amour, simplement pour le principe : Suite à une baisse brutale de fertilité, tout un chacun, parmis ceux qui n'en était pas victime, se devait de faire des enfants qui pourraient servir le pays, quand ils seraient grands. C'était ainsi, on allait donc pas faire autrement.
La suite de la vie de Jim, à par quelques dénonciation de certains de ses professeurs, se passa sans d'autre incidence. Son père le traitait bien, quoi qu'il fusse un saligaud de premier ordre, jusqu'à lui subtiliser sa ration de chocolat (denrée que tout le monde s'arrachait)
Un jour seulement, un vieux barbu s'immisca dans sa chambre, pour murmurer à son noreille somnolente le mot "fouine" et disparaître alors que le pauvre Jim, entrouvrant les yeux, n'eut même pas le temps de prononcer les mots "Plaît-il ?". Il se retrouva allongé comme un c** dans de l'herbe, devant un château, double stupéfaction : l'herbe était assez rare sur la Terre, et les châteaux avaient été détruits depuis belle lurette.

'Vrai nom' : Fouine (vous savez, le charmant petit mustélidé ^^)